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Cap-Ferret
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Son
nom aujourd'hui si célèbre possède plusieurs
explications sur l'étymologie du nom "Ferret".
Une deuxième explication peut être plus crédible, indique que le nom "Cap herrer" était indiqué sur les cartes anciennes. C'est l'équivalent gascon de Cap Ferret, "herré" étant un adjectif correspondant au français "ferreux" ou "ferrugineux". Le Cap Ferret était donc le Cap du Fer, ainsi nommé à l'époque où Lège était à la pointe de la presqu'île en formation. Le grès ferrugineux (alios) devait affleurer sur la plage et constituait ainsi une marque facilement repérable que les pécheurs locaux dénommèrent lou cap herré (la pointe du fer) (cf. Jacques RAGOT, le Cap Ferret, de la Pointe à Lège) L'origine
de propriété de la presqu'île
du Cap Ferret a connu quelques tumultes au cours des siècles.
La querelle entre le Captal de Buch et le Seigneur de Lesparre
sur la propriété a été tranchée
le 3 mars 1779 par un Arrêt du Conseil du Roi. A cette
date, la presqu'île fut découpée en deux
d'est en ouest à la hauteur du "Truc Vert".
La révolution de 1790 enterinera ce partage et attribuera
le Cap Ferret et le sud de la presqu'île à la commune
de la Teste de Buch et la partie nord à la commune de
Lège. La limite des communes fut définitivement
tracée en 1807 par une ligne droite partant côté
Bassin de "la pointe aux chevaux" et aboutissant côté
océan au nord du "Truc Vert". |
LE
PHARE DU CAP FERRET
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LE MIMBEAU
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LE TRAMWAY (PETIT TRAIN) DU CAP FERRET
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LE SEMAPHORE
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LE "COURRIER DU CAP"
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